conseilrevision –
Un conseil de révision, à Rosans
certainement pas, mais où ?
(collection Edgar Lambert)
bonfils3 – Septime Bonfils, assis, en capitaine décoré, à Briançon
arnaubec-1 –
Avril 1915, une escouade de chasseurs alpins, en formation à Barcelonnette.
L’un d’eux est Aimé Arnaubec, qui envoie la photo à son ami Louis Truphémus.
Peut-être le troisième depuis la gauche, debout.
louis1 – Louis Truphémus, fier sur son cheval : il s’occupera de chevaux toute sa vie.
louis2 – Louis Truphémus, fils de maire, lui-même futur maire de Rosans, en uniforme.
louis3 – le même, à gauche, avec un camarade d’infortune, et un mortier dans une tranchée pendant la guerre de 1914.
louis4 –
Louis Truphémus, debout,
le deuxième depuis la droite.
soldats –
Groupe de soldats non identifiés,
seul le dernier, debout à droite est de Rosans ?
jouve –
Alphonse Jouve, né à Prademian,
hameau de Montjay,
chasseur alpin tué le 10 novembre 1918,
la veille de l’armistice.
Il aurait eu une grande espérance de vie, s’il était fait des mêmes gènes que sa soeur Gustavie, 103 ans en 2005.
genie –
2 uniformes de soldats en 1914, celui du génie, porté par Marius Moulet en 1915 à Grenoble.
zouave – l’uniforme de zouave porté par Émile Givodan, boulanger.
groupe – groupe de soldats rosanais
En haut, de gauche à droite :
Marius Moulet (génie)
les deux frères Aurel, de Mangefeve
en bas :
François Hugues, à gauche (28° régiment de chasseurs alpins),
et Raoul Armand, qui deviendra gendarme à La Réunion.
classe1917 –
La classe 1917 devant l’église.
On reconnaît Emile Oddou maréchal-ferrant, deuxième en haut depuis la gauche,
et le septième Abel ou Marcel Lombard.
sur la premiere marche de l’escalier : Gaston Richier – Ludovic Mouton
Ange Bégou – ? – Louis Pons – Victor Joubert – Gabriel Beyssier –
plus 4 autres non reconnus. à rechercher : Roger Alizon – Eugene Eysseric – Marius Galland –
Laurent Garcin – Clement Peyre – Charles Roux – et ceux des villages voisins
ancienscomb – 1929 environ, la réunion cantonale des anciens combattants de la guerre de 1914/1918.
A gauche les trois veuves de Guerre, et quelques enfants assis.
Les deux extrêmes sont Lucien Pinet
et Pierre Arnaubec, qui seront victimes de la guerre suivante.
Dans les bras de son père Edouard Bégou et dans ceux de son oncle Marinette Andru-Moulet.
regiment1940 – Nous venions de perdre la guerre, l’armistice avait été signé, et les régiments avaient dû se retirer à plus de 50 km de la frontière Italienne.
C’était le dernier baroud d’honneur avant la démobilisation.
Le commandant Laporte présentait son bataillon.
chantier jeunesse – Les Allemands nous occupan, le gouvernement
de Vichy, voulant redonner aux jeunes français les valeurs… qu’ils avaient perdues …. créa les chantiers de jeunesse, qui furent installés … à la campagne.
Ici une photo prise au Lavandou, et on reconnaît, le plus à gauche, et au premier rang Émile Thore, de Ribeyret.
maquis1 –
Quatre ans plus tard, la guerre venait de prendre le bon virage, et le 14 juillet 1944, les maquisards, sortis de leur refuge, marquaient le renouveau de la liberté, et l’espoir d’une vie meilleure.
L’abbé Bicais, à gauche, était toujours aux premières loges. Il moura un mois plus tard.
La voiture qui le ramenait de St-André, fut mitraillée par les avions américains, la veille du jour du débarquement en Provence.
maquis2 – Haie d’honneur devant le monument.
maquis3 – Présentation des armes.
L’homme au premier plan à droite doit être le Commandant Morvan, un ancien métallo marseillais qui avait créé un maquis dans la région.
maquis4 – Les enfants des écoles et leurs mamans participent à la cérémonie.
La première à gauche doit être Magali Hubeau et sa voisine Jeanine Pinet.
L’abbé Bicais s’est rapproché du monument, pour réciter une prière de circonstance.
Ce fut l’une de ses dernières apparitions en public, et l’une de ses dernières prises de parole dans le cadre de son sacerdoce, avant son décès un mois plus tard à l’hôpital du Buis.
Photos Adolphe Moulet